Entroncamento est une ville de grande densité populationnel : 1500 habitants par kilomètre carré. Il a 22 000 habitants.

Mais on a encore espace de surplus pour avoir une grande Zone Vert, petits jardins disséminés par la ville et des poumons en chaque rue. Beaucoup de maisons possèdent un petit jardin potager, quelques arbres et beaucoup de fleurs. C'est une ville jardin. Seulement fouillant la ville à pied ou à bicyclette on lui prend l'arôme et on l'apprécie en toute sa totalité. Respirez Entroncamento dans le Printemps.

Toutes les rues ont du parfum.

Entroncamento possède plusieurs centres commerciaux, centaines d'établissements et douzaines de groupes destinés aux loisirs et à la culture.

À Entroncamento on entend encore le chant du coq, sonner le réveil et le chuchotement du train.

Par armes d'honneur, valeur et mérite, Entroncamento étale un disque de balisage rouge, deux rails et une couronne de cinq tours.

C'est sur cette ville de rêve que nous allons nous pencher.

II

Ainsi que les rois, les guerriers et les découvreurs se sont immortalisés à travers ses exploits, pareillement les hommes qui ont haussé des villes et leurs ont rendu sont effort, doivent, eux aussi, rester dans l'histoire afin que quand ils mourront ne disparaissent pas avec le même destin donné aux autres animaux.

C'est parce que j'ai toujours pensé comme ça, que symboliquement, quand j'écris à propos d'Entroncamento, je suis en train de mêler le nom de quelques hommes qui travaillent dans le coeur et dans les veines de cette ville, afin qu'elle se développe par la fusion d'une poignée de sable, rails, machines, entretoises et gravier et devînt une agréable, salubre et perpétuelle ville en mouvement.

Tous eux sont des gens simples, mais beaucoup plus nobles que beaucoup de nobles. Depuis l'humble chargeur, le vendeur de cruches à l'eau, ou pique niques en sacs de papier, le camelot, tous ont gravi lentement à travers son intelligence, son effort, sa pensée aux places de direction à la Coferpor, à présidents de Comité, jusqu'aux Conseillers Municipaux de l'Autarchie, ayant accompli tous et continuant à accomplir leur mission. Tous ont servi et ils servent toujours, avec d'amour et de grand attachement la minuscule place qui a grandi et s'est fait ville. En servant Entroncamento ils ont servi et ont honoré le Portugal.

En écrivant sur l'histoire qui enveloppe Entroncamento je ne réussis pas à laisser de focaliser l'être humain et le merveilleux qui c'est de voir sortir de ses mains et de son intelligence ce qu'aussi nationaux qu'étrangers peuvent observer : une des plus bien organisées et salubres villes d'Europe que je conseille à lire, voir et méditer.

III

Le monde s'est réveillé pour le progrès au 19ème siècle et, soudain il s'est aperçu que les hommes sont tous égaux et à tous on demande le même effort pour le développement et agrandissement de leur pays natal ou domicile.

Après l'arrivée de la première locomotive mise en mouvement par l'anglais Richard Trevithick en 1808, qui est mort pauvre et ruiné, à son compatriote George Stephenson, qui a su profiter les enseignements et éviter les contretemps, le train s'est assumé comme un bien et une richesse incontestable. Tout le monde a compris que c'était beaucoup plus facile, rapide et avantageux que de voyager dans un véhicule commode, bon marché et apte à transporter beaucoup de monde et beaucoup de marchandises.

George Stephenson, en conduisant une locomotive et les respectifs wagons entre les villes anglaises de Stockton et Darlington, en 1825, outre avoir enregistré son nom dans l'histoire et d'être devenu très riche, a montré au monde la marche du progrès. Immédiatement les États-Unis, la Russie, la France, l'Allemagne, la Suède, la Belgique et l'Hollande s'emparent des rails et dans un court laps de temps ces pays progressent d'une manière surprenante.

Et nous? Qu'est ce que nous faisions entre 1808 - 1825 et jusqu'à 1856, date où nous avons repris la ligne? En 1808 nous étions en train d'être envahis et volés par les français et par son commandant Junot, par ordre de Napoléon Bonaparte.

La reine Maria I, qui avait devenu folle et le prince Régent, le futur João VI avaient abandonné le Portugal ont fixé leur résidence au Brésil. Le Brésil devienne, de vice royaume, à royaume, avec la capitale à Rio de Janeiro et avec la désignation de Royaume Uni du Portugal et du Brésil. Les français sont venus ici trois fois. La première avec Junot, la deuxième avec le pilleur Soult et la troisième avec le prince des voleurs, Masséna. Ils se sont emparés de tout qu'ils ont attrapé à la portée de la main. Le pays s'est mis sur ses genoux et on a même pensé à la constitution d'une République Ibérique avec l'Espagne. Après beaucoup d'hésitations le roi est revenu contrefait, mais il est revenu.

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